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L'art investit les tunnels du Terminal 1 de l'aéroport Paris-CDG avec les photos de YANIDEL


Restauré en totalité entre 2004 et 2009, le corps central du Terminal 1 de l'aéroport Paris- Charles de Gaulle accueille désormais 11 millions de passagers par an. La restauration des 7 satellites d'embarquement se poursuit. Dans ce cadre et à l'occasion des 40 ans de l'aéroport, Aéroports de Paris améliore encore l'accueil des passagers et leur propose un nouveau parcours artistique. L'artiste YANIDEL habille ainsi les tunnels d'accès aux satellites 2 et 6 du Terminal 1 de photos contemporaines et décalées de la vie parisienne.

"Cette exposition s'inscrit dans la nouvelle démarche culturelle initiée par Aéroports de Paris. Notre objectif est de faire vivre à nos passagers une véritable expérience culturelle pour que le temps passé à l'aéroport soit synonyme d'enrichissement et de dépaysement. En parallèle des expositions de l'Espace Musées dans le hall M du terminal 2E, nous allons encore développer nos collaborations avec plusieurs institutions emblématiques du rayonnement culturel francilien, de façon à nourrir une relation toujours plus forte avec nos passagers et faire préférer l'aéroport", souligne Benjamin Perret, directeur de la communication d'Aéroports de Paris.

Pour que le voyage commence dès l'aéroport, Aéroports de Paris fait entrer la Capitale et l'art dans les tunnels d'accès aux satellites 2 et 6 du Terminal 1. L'artiste YANIDEL, adepte de la "street photographie", met en avant, au travers d'une vingtaine de photographies, un point de vue contemporain, insolite de Paris, avec légèreté et humour.

Sur près de 60 mètres, les photographies de YANIDEL mettent en scène des lieux emblématiques de la Capitale (la Tour Eiffel, les jardins du Luxembourg, l'Hôtel de Ville, etc.) mais également des scènes de la vie quotidienne, dans l'intimité des Parisiens.

A propos de YANIDEL

Né en 1973, en Suisse, Yanidel vit à présent en Argentine. Il découvre la photographie de rue alors qu'il vit à Paris. Il passe une partie de son temps, d'après ses propres mots, « à errer dans les rues ». Durant cinq ans, il perfectionne sa pratique de la photographie et affine son style. Des images nature, pleines de douceur et de réalisme, qui ne manquent pas de poésie.

Louise Gaboury