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Dernière journée de ce voyage imaginaire à Venise


Il y a cinq ans, j’étais à Venise. Pour vrai. J’y suis retournée depuis, et, si tout va bien j’y séjournerai de nouveau en octobre. En attendant, et au cas où, je m’y promène virtuellement.

Aujourd’hui, je me promènerai au hasard pour revoir des endroits que j’aime et, en me perdant dans les ruelles, je découvrirai des endroits secrets, par exemple dans Santa Croce que je connais mal. 

Je profite du temps que j’ai devant moi pour avancer au hasard. On ne se perd jamais vraiment à Venise. On s’égare, seulement. En passant devant un super marché, j’entre m’acheter des bigoliq u’on trouve difficilement ailleurs qu’en Vénétie, dans les supermarchés Eataly. 

Je me paie ensuite le luxe inouï d’un lunch dans le seul établissement  Relais & Châteaux de la ville, le Londra Palace. Le restaurant Do Leoni pratique des prix tout à fait abordables pour sa cuisine raffinée à l’heure du lunch. Le cadre est magnifique avec la vue sur la lagune et l’élégance de sa décoration, illuminée de verre de Murano. 

Je reprends mon périple, un brin nostalgique. Il me reste tant de choses à voir, tant de ruelles à arpenter, de canaux à longer. Au fil des ans, j’ai à peine effleuré la Giudecca, je ne suis allée qu’une fois à Murano, que j’avais trouvée trop envahie de touristes acheteurs compulsifs de pacotille, alors qu’on y trouve une mine d’or d’artisans authentiques, une fois seulement aussi au Lido. J’irais bien goûter à la paix de San Francesco del deserto et à San Lazzarro degli Armeni, Je ne connais pas Chioggia qu’on dit si charmante, ni Pelestrina.

Vivement la prochaine fois !

Ciao Venezia ! 

Louise Gaboury